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 Sixtine Wright (Version Finale!\o/)

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Sixtine WrightHi darling, i'm Sixtine Wright, nice to meet you. ♥
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»Messages : 5


Sixtine Wright (Version Finale!\o/) Vide
MessageSujet: Sixtine Wright (Version Finale!o/)   Sixtine Wright (Version Finale!\o/) EmptyJeu 26 Mai - 23:28


Parlons de Sixtine Wright.

Sixtine Wright (Version Finale!\o/) Lucy_o16

Nom : Wright
Prénom : Sixtine
Age : 17 ans
Classe sociale (Groupe désiré) : Outsider
Orientation sexuelle :Hétérosexuel
Comment est-il (est-elle) arrivé(e) ici ? /! Les personnages nés à Madland n'ont pas à décrire leur arrivée mais leur situation à Madland (serviteur, noble, bourgeois, etc....) : J’étais là, me balançant comme je le faisais toujours, la tête 10pieds par-dessus les nuages, la musique sur mes oreilles, balançant un peu la tête en suivant la rythmique. C’était bien… New-York sur fond blanc. Mais une chose accrochait mon regard, distant mais toujours attentif. Et c’est là que je le vis lui, ce lapin. Noir, impossible à manquer… Tel une tâche d’encre venu détruire la pureté de ce paysage d’hiver. Alors… Vous devinez sûrement ce que j’ai fais non? Et bien je l’ai suivit, de toute façon... Un lapin. Qu’est-ce que ça peut faire? Plein de choses… C’est ce que j’allais découvrir en passant le seuil de cette porte que vint traverser ledit lapin.

Parlons de son physique.


Comment suis-je…? C’est peut-être aux autres de vous le dire. Tiens donc… Demander donc à Alice tant qu’à y être! Alice qui me vois chaque jour ciré les planchers de son auberge, qui, chaque jour s’assoir et admire le spectacle que lui offre ses employées en train de travailler à la dure seulement pour lui faire plaisir… Lui faire plaisir à lui. Assit bien droit le regard hautain, il nous regarde. Nous. Laver les planchers, astiquer la vaisselle, épousseter les meubles. Mais parfois il lui arrive d’avoir une soudaine… Fixation. Fixation, parfois lunatique qui peut parfois s’avérer une éternité. Fixation fixé sur une seule personne. Alors il lui arrive de me regarder moi. Moi, mes mains si délicates et mes longs doigts fins s’évertuant à enlever la crasse de ses assiettes de porcelaines. La mousse ne recouvrant non seulement mes mains mais aussi mes cheveux d’un blond clair et pâle, descendant en cascade jusqu’au creux de mon dos. Alors c’est seulement lorsque je finis ma besogne, déposant la dernière assiette sur le comptoir et la rageant soigneusement dans les mille et un tiroirs de la cuisine que je me retourne. C’est la que Alice peut vraiment me voir, moi, les yeux d’un vert émeraude virant parfois au bleus, car oui j’ai les yeux pers. Mes rare sont les personne qui le voient vraiment. De toute façon vous avez autre chose à faire que de voir une simple employée dans le fond des orbites… Non? En tout cas, Alice lui en a le temps… Mais je n’aime pas regarder Alice dans les yeux, il a toujours un truc déstabilisant en lui, mais bon… Chacun sa façon de percevoir les gens. Mais c’est quasiment bien comme ça car bizarrement… Je n’ai jamais vraiment été porté de regarder les gens yeux dans les yeux. Je suis toujours en train de fixer le plancher. Pourquoi? Allez-vous me dire. Alors je vous répondrai simplement… Parce que. Il n’y a pas de raisons. Je crois que c’est pour cause… De simple habitude. Alors je me retourne vers Alice, les yeux vers le sol, et je prends un plumeau et me concentre maintenant sur les étagères. Bien sûre Alice ne tarde pas à se retourner, alors il regarde, il regarde chaque poussière venir se coller une à une sur mon corset. Car oui je suis encore dans la mode Victorienne, j’aime bien ce style. Il est vrai qu’il nous étouffe parfois mais à la longue, la douleur n’est plus et le souffle se retrouve renforcé. Aujourd’hui je porte une jolie robe noir et blanche tout droit sortit de l’époque Victorienne. Elle descend jusqu’à mes pieds, chaussé de haut talons. Les talons hauts… Puisque je suis assez petite (1m60) j’aime bien me donne un air de grande femme quelque fois. Habituellement les corsets aide les femmes à avoir de belles silhouette mais… Même sans corset je crois que je me débrouillerai quand même assez bien de ce côté-là. Je suis menue, oui. Petite et maigre, mais je ne dirai pas aigrit, ni maigrichonne juste… Menue. Alors son regard remonte et admire mon teint, ma peau, peau de pêche, une peau sans démarcation, ni imperfection. Mon nez, fin sans signe particulier, ma bouche pleine et pâle, que j’aime bien embellir avec un rouge à lèvre et enfin, je range le plumeau. J’époussette encore un peu ma robe et repars en direction opposé, encore sous les yeux d’Alice.

Parlons de son caractère.

Mentalement, je ne crois pas être la complexité incarnée. Je reste simple, avec un tempérament sobre. Faisant les tâches que lui commande Alice… Alice le cupide, le supérieur, l’arrogant… Mais il est quand même bien ce Alice, sans lui, je n’aurais peut-être jamais survit ici… Ici, à Madland. Il m’a recueillit, et il m’a dit de faire ma place parmi les autres employés et de faire comme eux… Quand j’entends «faire comme eux» je veux dire «faire le ménage». C’est ce que je fais… Ce que je fais, chaque jour depuis près de maintenant quoi…? Un an? Mais ça ne m’ennui pas. Je fais, ce que les autres me disent de faire. Je suis ce que l’on dit «docile» et «serviable». J’exécute sans réfléchir, sans rechigner, sans pleurer, sans rouspéter, sans répliquer. Je fais toujours le tout avec doigté et délicatesse, je n’ai encore jamais causé de bris, et la porcelaine ne me fait pas peur. Je n’aime pas la violence et la vue du sans me fais légèrement froid dans le dos. Car oui, le sans me répugne. «Pourquoi?» Allez-vous me dire. Alors je vous dirai ; «Car c’est rouge, poisseux et salissant. L’odeur me donne des hauts le corps, car une forte odeur de fer me vient au nez à chaque fois qu’il y en a. » Chacun ses raisons non? Voici pourquoi je n’aime pas me rendre à la place rouge. Voir des corps se faire mutiler les uns après les autres n’est délibérément pas mon hobby. Mais j’aime bien… Apprendre. C’est sûrement le truc le plus barbant que vous n’avez jamais entendu non? Mais oui, j’aime bien apprendre. Les encyclopédies et les vieux ouvrages me fascinent. À l’anatomie, l’art et la littérature en passant par la biologie tout y passe. Ça et… Les araignées. Encore plus bizarre vous dite? Et oui! Leurs huit pattes et leurs yeux multiples me semblent vraiment captivants. Mais pourquoi me suis-je attaché à cet invertébré à la fois dangereux et redouter? C’est peut-être à force de toujours les voir. Les observer faire leurs toiles, au tréfonds du grenier. En tout cas, à force de les cotoyer je m’y suis habituer et même attacher, à ces petites bestioles! Ce que j’aime aussi faire pendant mes temps libre c’est de jouer au piano. Entendre le doux son des notes, pousser par ce mécanisme et ensuite exécuter une douce mélodie, qui, par la suite se rend jusqu’au vos oreilles est vraiment captivant. Le piano m’aide à m’évader … À me remémorer ce temps passer chez moi… Avant.

Si l’on parle de mon humeur je crois être une personne que l’on pourrait facilement qualifié de souriante. Je suis généralement de bonne humeur mais ne le montre pas toujours. Je suis loin d’être prompt… D’une patience exemplaire même! Mais… Souvent dans la lune… La tête dans les nuages, l’esprit ailleurs. Bref... Pas toujours attentive, il m’arrive parfois de faire déborder l’eau du robinet par exemple, mais je tâche toujours de tout nettoyer! Pas question de montrer ça au patron! Je n’aime pas la révolte et évite les colères. Mais oui e peux pleurer, je ne suis pas une bonne fontaine non plus! Il m’arrive de rire aussi mais… Pas toujours aux éclats! Disons que mes émotions sont souvent dosées. Je parle toujours sur un ton calme et posé avec un vocabulaire qui se veut toujours poli et franc.

Parlons de son histoire.

Mon histoire est sûrement la plus simple la plus barbante, la plus commune et la moins complexe de tout ces chères habitants de ce «pays» si je pourrais le qualifier comme tel. Mon passé pourrait facilement être qualifié comme normal… Mais je ne parle pas de mon passé ici, à Madland. Non. Je parle de bien mon passé à New-York en compagnie de maman, papa, Rex et Mari, alias, Grace Bethany, Nathaniel Wright, Rexy mon petit yorkshire préféré et Marika, ma petite sœur. Mon père était médecin, un vrai génie je vous dis. Toujours en train de lire et d’empiffrer mille et un ouvrages. Sa soif de connaissance était infatigable, il possédait tellement de livres qu’il s’entassait partout dans la maison ; les manuel d’algèbre se retrouvaient au-dessus du frigo, les livres de science cohabitaient avec le sucre et la farine, les livres de biologie coexistaient avec les plantes grimpantes bref, ils étaient partout! On en butait quelques uns, on pouvait en heurter d’autre, d’autres se trouvaient sur le bord des fenêtres. C’était peut-être encombrant mais c’était bien… La vie avec les livres! Ensuite notre cher docteur se fiança avec Grace. Grace Bethany, une femme d’une douceur incomparable et à la bonté sans borne, Grace s’initia à rapidement à l’art de la musique et en fera une carrière prometteuse. Elle avait de long cheveux blonds et des yeux verts, verts comme l’émeraude, il paraît que je lui ressemblais. Suite à un mariage réussit et sans entraves, ils eurent deux enfants; moi et Marika. Je ne sais pas si vous avez une sœur mais bon… Vous savez sûrement ce que je veux dire non? Oui vous l’aimez, oui vous vous entendez parfois bien avec elle, mais vous savez… Elle vous tombe toujours un peu sur les nerfs non? Petit monstre qui s’amuse à gribouiller avec des crayons de cire sur vos cahiers de notes, toujours là pour vous exaspérez en chantant à tue-tête pendant que vous faites vos devoirs, en entrant dans votre chambre par infraction pour vous voler la monnaie que vous collecter… Et bien ça… C’est ma sœur pendant 99% de l’année. Donc… C’est en l’été 1993 que Sixtine Bethany Wright naquit… Alias, moi. Avant la naissance de ma sœur, je crois avoir été un enfant sage. Tout ce qu’Il y a de plus normal quoi. Alors en automne 1996 ma sœur vint au monde, ce qui n’était sûrement pas nécessaire. Je l’aimais bien, ce petit bout de choux… Du moins… Jusqu’à l’âge de... 4ans? En tout cas c’est vers c’est environ là qu’elle est devenue un vraie petit monstre! Maman mourut en 1998 elle s’éteignit suite à un accident de la route. Elle revenait du travail et un homme soul l’a happé. C’est horrible non? Dire qu’une femme aussi belle et allumé est peu mourir si bêtement. J’ai beaucoup pleuré, à 8 ans on est déjà en mesure de comprendre. J’ai compris très tôt qu’elle ne pourrait plus jamais revenir. C’est décidemment l’évènement le plus percutant qu’il y est eu dans ma vie. Depuis, je n’ai plus jamais été la même petite fille, mignonne et attentionnée que j’étais. Suite à sa mort, j’ai commencé à avoir des troubles du sommeil grave et des absences neurologiques temporaires, ce qui se rapporte à une déconnexion de la réalité et à une absence d’émotion, le tout pendant un laps de temps indéterminé. Papa a sûrement été celui qui en a le plus souffert, et Marika… En bien, elle a rien fait. Elle n’a jamais pue connaître Grace, elle n’avait que 2ans à sa mort donc… Pourtant j’ai toujours eu l’impression qu’elle l’avait oublié, déjà. Qu’elle n’y pense pas, elle ne s’est jamais souvenue d’elle et c’est qui me frustra le plus. Suite à cela la vie a bien été obligée de retrouver son court non? Alors c’est ce qu’elle fini9t par faire, j’allais à l’école comme les autres, avec moins de motivation oui, mais j’essayais de manquer le moins de journées possible. Mes troubles neurologiques avaient un impact direct avec ma vie scolaire et c’est pour cela que je détestais aller en cours. Chaque matin je me réveillais le matin, les yeux bleus de fatigues à causes de mes cernes, blanche comme un drap, le regard blafard et vitreux, de part ma nuit d’insomnie. Pour rajouter à cela, j’écoutais toujours à moitié ce que me disais les professeurs, toujours dans la lune et la tête dix pieds dans les nuages. Bref, mon parcours scolaire à surtout été un chemin tortueux et semer d’embuches. Je trouvais le collège tellement barbant que je dormais pendant la moitié de mes cours! C’était surtout mon père qui me motivait à aller en cours, il voulait que j’oublie le deuil et que je prenne mon avenir en main, de m’assurer un futur prometteur et tout, et tout, et tout… C’était sa philosophie, au début je ne m’y suis pas de tout adapter, je jetais les livres au bout de mes bras et ne lisais pratiquement plus. Lorsqu’on perd un membre important de notre famille on a autre chose que se remplir le cerveau à en avoir mal à la tête non? Mais petit à petit je recommençais à apprivoiser les livres, à relire leurs pages fripés et leurs reliures ternit. Et plus le temps passait plus ma soif de connaissance grandissait, très tranquillement mais au moins mes notes commençait à monter. J’ai aussi commencé le piano, par hasard, en pianotant du bout des doigts sur cet instrument que maman utilisait tant. J’ai tout de suite commencé à prendre des cours, j’aimais cet instrument et le son qui en sortait. Le monde de la musique me semblait infini et remplit de possibilité, les notes, les partitions, les parchemins et la musique classique me fascinaient. C’est là que mon amour de la musique s’amorça, j’avais à peu près 12ans à l’époque. Marika elle, commença beaucoup plus tôt l’art de la musique, à 4 ans déjà, elle se trouva un talent au violon! Je crois que c’est ce qui nous a approchées car depuis la mort de Grace, j’vais l’impression que tout était à cause d’elle… Pourquoi? Parce que sa mort est survenue seulement 2 ans après sa naissance et dans ma tête, la mort de ma mère se rapportait directement à elle. Ce qui est complètement insensé! Et c’est bientôt ce que j’ai comprit. Le temps panse les blessures, même les plus profonde l’âme c’est ça…? Et bien moi, ça ne c’est pas vraiment passé comme ça… Il est vrai que ce n’est plus comme si la mort de maman était récente, mais cette blessure profonde de l’âme persiste encore… Et c’est là que l’évènement qui allait basculer mon existence arriva…

Et alors que je me balançais tranquillement, sur un fond blanc de neige, j’aperçue un lapin…

Parlons de vous.

Surnom : ...
Age : 2 éternités
D'où connaissez-vous le forum ? D’un… Top forum, je crois… Je ne m’en souviens plus trop... @__@
What else ? Nespresso.
Et les ChocoSui's ? Tu pousses le bouchon un peu trop loin, Maurice.


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Sixtine Wright (Version Finale!\o/) Vide
MessageSujet: Re: Sixtine Wright (Version Finale!\o/)   Sixtine Wright (Version Finale!\o/) EmptySam 4 Juin - 19:38


J'ai comme l'impression que le forum est un peu éteint...
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»Messages : 42

»How old are you : 19 ans, chérie.
»Where are you : Dans ton lit. ~♥
»What's your job : Gérant du Red Shop


Heart Card
»Your Quote: I'll blow down your house and then I'm gonna eat ya.
»Your Mood: Retourne toi? Mh, ouais, c'est mieux comme ça.

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MessageSujet: Re: Sixtine Wright (Version Finale!\o/)   Sixtine Wright (Version Finale!\o/) EmptyMer 15 Juin - 9:27

    J'aime quand les esclaves parlent de moi dans leurs présentations.

    Tout est impeccable, que ce soit au niveau des codes qu'au niveau du reste. Mais Alice ne fait pas de compliments, donc Alice n'en dira pas plus. Je te valide, donc. Mais il te faudra attendre un admin pour pouvoir te mettre à jouer.

    Amuse-moi bien !



    (cet homme est d'un narcissisme sans égal...)
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Hi darling, i'm Contenu sponsorisé, nice to meet you. ♥



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MessageSujet: Re: Sixtine Wright (Version Finale!\o/)   Sixtine Wright (Version Finale!\o/) Empty

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