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Sujet: « Ulrick Doloris. » [terminée] Sam 6 Nov - 13:18
Gomen de ma très longue fiche .. :kawai:
Parlons de Ulrick Doloris .
Feat } Shaolan - Tsubasa.
Nom : Doloris. Ouai , mon nom à moi, c'est douleur. Douleur comme celle qui vous ravagera les côtes, comme celle qui vous rendra fous et rongera vos nuits. Douleur. Prénom : Ulrick M'dame! Age :15 ans. Classe sociale (Groupe désiré) : Outsiders. Orientation sexuelle : J'aime rien. Rien ni personne. (Arrivez-vous à le sortir de son insensibilité à l'amour? ) Comment est-il (est-elle) arrivé(e) ici ? (Minimum 5 lignes) /! Les personnages nés à Madland n'ont pas à décrire leur arrivée mais leur situation à Madland (serviteur, noble, bourgeois, etc....) :
" Où qu'il est le lapinou? Aaaaah foutu lapinou , il est passé oùùùù? Lapinou? Lapinou viens là je vais pas te faire de mal .. Ahhh il est là! " Je cours, je cours. A m'en arracher les jambes. Je cours dans cette forêt remplie d'ombres monstrueuses. Je cours après cette horrible petite boule de poile qui se confond parmi les abîmes d'obscurité que jettent les arbres sur le sol inégal. Je jubile déjà. Je veux sentir son petit cœur s'affoler, ses pattes s'affaisser. Je souris à l'idée de son sang vermeil qui va éclabousser mes mains et de ses viscères qui se rependront bientôt sur les feuilles mortes. Je veux le tuer. J'adore tuer. J'accélère le pas, bien décidé a ne pas laisser ma proie m'échapper. Je n'aurai pas de pitié, pas cette fois. L'animal se retourne, je croise ses yeux. Ils ont presque l'air humain , et il n'a pas l'air affolé. Pas le moins du monde. Il semble sourire. Mes jambes se délient , la haine monte en moi intense. Ineffable. Incontrôlable. Je veux son cadavre! Je veux le mutiler! La folie me gagne, me dévore, me croque, me mange. Me tue. Je frôle le bout de sa queue. Allez, un petit effort et il est à moi. Je sens sa chaleur, mon souffle effleure sa fourrure. Je vais l'attr.. Plus rien. Il a disparu. Complétement, littéralement. Mais il y a autre chose. Là ici. Tout près. Malgré la pénombre, je la distingue. Je tend les doigts, agrippe la poignée, la porte s'ouvre. Où suis-je?
Parlons de son physique.
Le soleil qui s'était caché derrière un nuage réapparait d'un coup , éclairant d'un camaïeu de reflet la tignasse du garçon perché sur un rocher anthracite moiré des reflets de la mer qui venait mourir à ses pieds. Ses cheveux bruns comme la terre constamment décoiffés volent violemment, cachant ses yeux presque noirs. Le front plissé, il semble réfléchir, ses prunelles abyssales n'étant plus que deux fentes d'ombre perdus sous ses mèches. Les lèvres serrées ne traçant qu'une fine ligne de chaire rouge sang, il ne sourit pas. Il ne sourit plus . Il ne sourit jamais, en fait. Ou seulement quand il tue, là sa bouche se tord en un rictus hideux, débordant de cruauté.
Il lève les yeux, offrant la droiture de son menton aux nuages. Il ne semble pas avoir plus de 15 ans mais la dureté de ses traits lui en donne 5 de plus. Si jeune et si vieux à la fois. Comme si il avait grandis trop vite, comme si toute la haine du monde avait décidée de s'incruster dans chaque plis, chaque ombre de son visage. Il se lève, étirant ses bras nerveux vers l'astre diurne brillant faiblement dans le crépuscule de novembre. Il n'est pas grand, pas du tout. Il a vraiment l'air d'un enfant, du haut de son mètre 60. 65 peut-être?
Les plis serrés de son t shirt laissent entrevoir les courbes de son corps. Ses quelques muscles, moyennement présents, saillent sous sa peau d'une pâleur insupportable. Blême. Blafarde. Plus livide encore que la mort elle même. Quelques cicatrices courent entre ses os, lignes de feu sur la blancheur de sa peau. Peut-être quelconque souvenirs de rixes passées. Ses épaules, plutôt larges et carrées, entourent sa nuque raide à force d'y rentrer la tête. Il déteste qu'on le regarde. De ses mains calleuses, il rabat sa capuche noire sur son front. Il sent vos yeux sur son dos. Il sait que vous êtes là, derrière lui, juste à la périphérie de son regard, à détailler chaque parcelle de son corps. Et il hait ça. De tout son être.
Alors il bouge. D'un coup. Il se met en mouvement. Ses jambes qui semblait si courtes, démontrent une agilité insoupçonnée. Ses contours deviennent flou, l'espace d'un instant, ombre oubliée d'un passé pourtant si proche que l'on pourrait le frôler. Il est rapide. Trop rapide. Une force mêlée de grâce transpire de ses pores, inspirant au respect. Il fléchit les jambes et saute, il semble pouvoir aller comme ça jusqu'aux étoiles qui commencent à se lever dans la lueur du soleil mourant. Il se pose devant vous, aussi doucement qu'un rêve, les pans de sa cape retombant autour de lui comme des ailes de noirceur. Ses yeux vous brisent, traversent vos vêtement, sucent la moelle de vos os, dévorent votre peau. Vos regards s'accrochent, se croisent. Le gouffre de ses yeux est un appel à l'errance. A la déchéance.
Tout sa monstruosité transparait enfin. Ce n'est pas un enfant, pas même un homme. Un éclair, faible éclat glauque, traverse doucement ses yeux avec la lenteur d'un frisson. Ce même frisson qui se promène au creux de votre dos. Oui, vous avez compris.
Vous êtes sa proie, enfermée dans la cage de ses yeux.
Parlons de son caractère.
Commentaire de Mr. BlackMonday, ancien psychologue de Mr Doloris sur le monde Terrien. " Il est fou. Complétement. A le voir comme ça, on pourrait croire qu'il est juste un peu asociale, un peu ténébreux ou violent. Mais non. C'est pire que ça. C'est à peine si il est humain. Il est misanthrope aussi. Complétement. Il n'aime rien ni personne. Enfin si , mais il n'a pas les désirs qu'un adolescent pourrait avoir à son âge. Le sexe ne l'intéresse pas, pas même les filles, ni les jeux vidéos. Ce qu'il aime lui, ce qu'il désir, c'est le sang. La souffrance. La mort. Et les livres. Il adore lire. Toute sorte de bouquins d'ailleurs, passant du recueil de botanique , à une revu technique , un roman ou une bande dessiné. Il lit tout ce qui lui tombe sous la main. Et il retient tout, tout ce qu'on lui dit, tout ce qu'il voit, ou apprend. Il parle peu, voir jamais. Mais il écoute, constamment. C'est une véritable éponge, il absorbe tout et il a une soif d'apprendre intarissable. Il aime la musique aussi, c'est un mélomane. Toute sorte de musique. Mais il faut toujours qu'il est un écouteur à porté de mains. Ça l'aide a se concentrer. Aussi, c'est un tueur né. Une machine de guerre. Il est terriblement intelligent, et il a toujours un coup d'avance. Même si comme je l'ai dit il ne parle pas, il appréhende chacun de vos gestes, de vos phrases et a une répartie impressionnante. Il adore briser les gens. Par les mots, par le corps. Il anticipe tout, tout ce qu'il va faire, va dire. Il déborde de lui une assurance terrible. Sans faille. Il n'a que 15 ans et semble en avoir le double, voir le triple. Ulrick raisonne comme raisonnerai Einstein. C'est un génie .. Il y a quelque chose d'atrocement surprenant chez lui. Il est capable de devenir quelqu'un d'autre. D'être quelque chose qu'il n'est pas. Parfois, il prend un air d'enfant, il est gentils. Il parle normalement et semble être un ado comme les autres. Je l'ai vu faire, et j'en ai encore des frissons .. Comme on apaterai un animal, il se sert de son charme pour attraper ses proies. Pour mieux les attirer. Il manipule.Il n'aime pas tuer de suite, il joue. Il choisit, observe sa future victime. Il n'a pas de caractéristiques de sélection. C'est instinctif. Une personne l'attire, alors il l'assassine. Mais il tue si bien, ces meurtres sont de véritables œuvres d'arts. Précisément démentielles. Mais il cherche toujours à faire le plus de mal possible, que l'agonie soit interminable.Il prend les autres humains pour de simples pions, sur son échiquier géant. Je ne sais pas si il a grandit trop vite ou si justement , il est toujours un enfant. Le monde entier est son terrain de jeu, mais paradoxe parfait, il s'amuse si froidement .. Je ne l'ai vu rire qu'une fois .. qu'une seule .. je ne l'ai vu rire que lorsqu'il tuait .. non tuer n'est pas assez fort .. même massacrer est faible face à ce qu'il a fait à ce pauvre animal. Et encore, ce n'était justement qu'un chien, mais ce qu'il préfère, c'est les humains. "
PEU DE TEMPS APRÈS AVOIR PASSER CET INTERVIEW, MR BLACKMONDAY A ETE RETROUVER DÉCHIQUETÉ DANS SA BAIGNOIRE, LES MEMBRES ÉPARPILLÉS DANS SON APPARTEMENT ..
Parlons de son histoire.
Le vent soufflait. Trop fort. Une bourrasque me secoua de la tête aux pieds, faisant voler les pans de ma cape noire. Ma capuche tomba, dévoilant mes cheveux qui fouettèrent mes joues blafardes. Je n'y fit pas vraiment attention, trop occupé a scruter les Hommes qui marchaient tranquillement en bas , tâches d'ombres mouvantes et futiles face aux étoiles qui se levaient au dessus des toits. C'est d'ailleurs là que je me trouvais. Un toit. Je guettai. J'écoutai la cacophonie des cœurs de la foule battant à l'unisson pour savoir lequel de ses chants, véritables hymnes a la vie, deviendrait pour moi aussi irrésistible qu'un aimant. Je fermai les yeux, recherchant quel souffle, quelle respiration serait âme-sœur de la mienne. Que je noierais dans son propre sang, et qui serait alors, une hymne a la mort.Un rire m'échappa, lugubre mélodie qui s'envola vers la lune glauque en pensant au bruit que ferait le dernier battement d'une aorte affolée. Au glougloutement de l'hémoglobine qui s'écouleraient des plaies aux lèvres béantes. Une folie sanguinaire s'empara de moi. Je la réfrénai. Sinon, ça allait être un carnage.
Une nouvelle rafale, encore plus violente que la précédente ébranla les tuiles. Je le sentis me traverser, errer entre mes os et ma chaire. Il délogea un morceau de papier d'une de mes poches oubliées qui s'envola, planant un instant entre ciel et terre. Je la saisit au vol, mon geste frôlant à peine les particules en suspension. Satisfait de mon habilité, je la froissai et voulu la fourrée dans ma cape. Un éclat de papier glacé jaunis par les saisons et les intempéries attira mon regard. Je fronçai les sourcils et dépliais la petite feuille que j'avais roulé en une boule compacte. Une photo. Dont j'avais à peine le souvenir. La seule et unique photographie que je conservai de mes parents.. Mon regard se perdit dans le débâcle de pensées et de sentiments qui me renversa d'un coup ..
J'ai 5 ans. Je me réveille. Ou suis-je ? qui suis-je? Je ne sais pas. Je ne sais plus. Même mes pensées sont incohérentes, mes mots s'emmêlent. Je me redresse. Les draps sentent le renfermés. Le plancher est miteux, un faible feu brûle dans l'âtre de la cheminée crasseuse encastrée dans les murs suintants d'humidité. Je plisse le nez. Je n'aime pas cet endroit. Une .. comment s'appelle cette chose déjà? .. ah oui. Une femme s'approche de moi. Elle est jeune, mince. Son visage émacié laisse apparaître ses os qui saillent de sous sa peau. Elle me parle.
" - Est-ce que tu te sens bien? ça va? "
Est-ce que ça va? Je ne sais pas vraiment .. Je fronce les sourcils. Non j'ai mal a la tête, et je saigne. Je passe une main sur la bosse sanglante qui s'ouvre sur mon front. Je ne l'avais même pas sentie. Je hoche la tête dans un signe d'aquiècement. Règle numéro un, mentir. Je déteste qu'on s'occupe de moi. Mais d'où je sais tout ça d'ailleurs? Je ne sais même plus qui je suis.
" - Quel est ton nom? "
Ulrick. Je ne sais pas d'où mais cette certitude transpire de mes os. C'est évident. Je m'appelle Ulrick. J'essaye d'articuler mais ma langue est irrémédiablement collée a mon palet. Un vague grognement s'échappe d'entre mes lèvres closes. La fille se retourne et parle à quelqu'un que je ne vois pas.
" - Il est muet ! "
Mais non je ne suis pas muet! Je n'arrive juste pas a articuler .. Paniqué qu'on me croit muet , je pris sa main et de son doigt, je dessinai les lettres de mon prénom. U . L . R . I . C . K . Elle me regarda, une leur d'intérêt dans les yeux.
" - Il sait écrire. Il s'appelle Ulrick. "
J'ai 7 ans. Je m'appelle Ulrick. On m'a donné le nom de Doloris. Douleur. Parce que j'aime ça, parce que je le suis. Je suis dans un orphelinat. On m'a retrouvé plein de sang, comateux dans les ruelles de Londres. Je ne me rappelles plus de rien. Je savais parler, je savais comment je m'appelais mais sinon rien. Le vide total. Seul des flashs me reviennent parfois, empreintes à jamais des vestiges du passé. Je déteste cet orphelinat. Je n'aime personne , rien ni personne. Si. J'aime le sang, la douleur, la musique. Et les livres. On m'a donné une photo, c'est la seule qui me reste. Elle me représente moi, accompagnée de deux adultes qui semblent être mes parents. " Parents ". Ce mot a un gout amer dans ma bouche.
J'ai 9 ans. J'ai tué celui qui partageai ma chambre. Il se moquait de moi, de ma passion pour les livres. Un gamin , du même age que moi. Oui, je sais, je dis gamin alors qu'il n'était pas plus grand que moi. C'est juste que je trouve le monde trop .. puérile. Ils ne comprennent rien à la vie. L'orphelinat est affolé, moi je ris. Je ris à m'en arracher la gorge, et pour la première fois en 4 ans, j'articule un mot. Ma langue se délie. Ma voix sort. Elle est grave et cassée, nasillarde. " J'aime te faire souffrir. " Le sang de ma victime goutte sur le plancher, j'en ai partout. Il s'appelait Wellan. Je tombe sous le charme de ses pupilles sans vie. Il est mort, cette perspective m'enchante. Mort de mes mains. Je fixe la blessure précise et béante qui se promènent sur son corps , de l'épaule à l'aine. Il a hurler. Une agonie longue et insoutenable. On aperçoit ses viscères qui trainent sur le sol. Je l'avais bâillonné pour ne pas qu'ils l'entendent. Mais ils l'ont trouvés ce matin, j'étais assis près de lui à le regarder inlassablement. C'était vraiment drôle de voir leurs visages affolés.
" - Comment as - tu fais ça? "
Cette question reviens inlassablement , pourquoi aussi. Comment? Voilà à quoi servent les livres, à apprendre, à savoir. J'ai voulu savoir comment tué, alors j'ai su. C'est tout. Pourquoi? Parce qu'il me méprisait, comme tous les autres. Une autre interrogation courent toujours sur leur lèvres : Wellan était plutôt gros, et fort comparé à moi. Moi qui suit tout mince et filiforme. Comment ai-je pu réussir à le maitriser. Voila la réponse : mes muscles et mon agilité se sont développés a force d'escalader les poutres et les toits pour fuir les moqueries et les regards des autres.
" - C'est un monstre! "
Ils me font rires. Tout me fait rire. Ils ne comprennent pas la jouissance de tuer, d'entendre le cœur s'affoler. Mon regard change alors quand une certitude s'impose à moi. Ils sont tous mes proies. Un sourire carnassier étire mes lèvres, pour la première fois de ma vie, je sens les muscles de mes joues se contracter et un rire dément s'échappe de mes lèvres. Ils ont peur, je le sens, et j'adore ça. C'est ainsi que j'ai compris, je suis tombé amoureux. Amoureux de la mort.
J'ai 13 ans. Cela fait 4 ans que je suis dans ce centre. Ils vont me relâchés, j'en jubile. On m'a d'abord regardé comme une bête, on m'appelait " enfant de la mort ". Puis j'ai compris , j'ai joué leur jeu, je suis devenu gentils. Je n'ai plus tué, même si j'en rêve la nuit , j'attends le moment. Enfin si, après Wellan, j'ai tué toutes les personnes qui se trouvaient dans la pièce. Je lis toujours, et la musique guide toujours mes pas. En ce moment , j'écoute beaucoup de rock/métal, j'adore ça. On m'a ausculté, j'ai vu des centaines de milliers de personnes plus intéressantes les unes que les autres. Je les ai vu avoir peur, et trembler d'horreur devant mon dossier. J'en riait intérieurement , affichant à l'extérieur une mine affreusement désolée. On m'a posé des question , et j'ai appris à mentir. Ce soir , on croit enfin en mon innocence, on va me placer dans une famille d'accueil. Qui ignorera bien évidemment mon passé. Un homme vient me chercher, il a été mon tuteur pendant ses quatre années, et je le hais autant que les autres. J'attrape le petit sac noir qui contient tous mes bagages. La grille s'ouvre, enfin, je suis libre.
J'ai 15 ans. Je vois un psy, et lui , il me comprend. Je n'ai pas besoin de cacher mon jeu avec lui, il lit en moi. Enfin il essaye de déjouer les fausses pistes que je lui envoie. Avec lui , je parle librement. Une fois que je n'aurai plus besoin de lui, je le tuerai. Je crois qu'il le sait, mais si il a peur , il ne le montre pas. Il s'appelle Monsieur BlackMonday. Je n'ai fait que des petits meurtres pour l'instant , de gens sans importance dont personne ne remarquera jamais la disparition. Des prostituées, des clochards ou des enfants abandonnés. Ma famille d'accueil est pathétique, ils sont gentils , et c'est atroce. Il y a une fille , de mon âge , et elle est amoureuse de moi. C'est elle que je vais tuer, c'est son sang que j'attends depuis 2 ans. Elle croit que j'éprouve pour elle la même désespérante tendresse qu'elle a à mon égard. Je m'en sert pour la piéger. Demain , elle sera mienne. Pas dans le sens qu'elle espère, mais elle m'appartiendra.
Defnée est là, ses cheveux blonds cascadent le long de ses courbes nues à peine cachées par le drap blanc qu'elle sert voluptueusement contre elle. Des abîmes d'ombres creusent ses traits séraphiques. Le drap glisse, découvrant ses seins blancs. Je m'approche doucement, un air de désir incrusté à mes traits. Désir pour lequel elle se méprend, j'en sourirai presque. Son cou gracile penché laisse apparaitre la courbe de ses veines, je sens la pulsation devenue irrégulière par le désir qu'elle a de mon corps battre contre sa carotide. Mon doigt frôle sa peau , aussi doucement qu'un rêve. Mon souffle devient erratique à moi aussi. Ses lèvres s'approchent dangereusement, devine-t-elle qu'elle va embrasser la mort? Son haleine, douce et chaude s'échoue sur l'arrête de mon menton :
" - Je t'aime. "
Moi c'est ton sang que j'aime.
Douleur. Hurlement. Cri. Jouissance.
Je jubile, la chaleur du sang que je viens de verser encore présente en moi. Sur moi. J'ai aussi tué monsieur BlackMonday, je sais qu'il m'a affiché au monde entier après l'assassinat de Defnée. Le monde entier est à ma poursuite. J'entends les sirène policières raisonner dans la ville qui s'étale dans mon dos. Ça y est, c'est bon, le corps a été trouvé. Je souris a la nuit. Un mouvement sur ma gauche attire mon attention quand j'entre dans le bois et la silhouette d'un lapin noir passe devant moi au pas de course ..
Parlons de vous.
Surnom : Tout le monde m'apelle Ana! (et c'est moi la débile qui a posté en invité avec Nobody! Je vous l'avez dit que je reviendrais mouhahahahahha //SePrendUnMurEnMousse// ) Age : j'ai 14 ans (et demi?) (a) D'où connaissez-vous le forum ? euh , partenaire de partenaire de partenaire? :D What else ? Je suis un peu beaucoup blonde dans ma tête je crois , mais si j'ai tout compris ? Nespresso {L.} Et les ChocoSui's ? j'ai rien compris ? Tu pousses le bouchon un peu trop loin Maurice... {L.}
Dernière édition par Ulrick Doloris le Sam 6 Nov - 13:39, édité 3 fois
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Sujet: Re: « Ulrick Doloris. » [terminée] Sam 6 Nov - 13:24
Welcome ! o/
Malheureusement, les codes (les réponses aux questions étranges à la fin de la présentation) ne sont pas bon, ce que tu as mis là c'est les validations de ces mêmes codes. Retourne lire le règlement et le contexte pour trouver les bonnes réponses et on s'occupera de ta fiche ensuite. o/
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Sujet: Re: « Ulrick Doloris. » [terminée] Sam 6 Nov - 13:28
Expldr, d'accord //SBAMM// j'ai beau lire et relire le règlement, je comprend rien ! Je vais essayer de voir ça x)
EDIT : je CROIS avoir trouvé pour le what else, mais pour le chocosuis' O.O
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Sujet: Re: « Ulrick Doloris. » [terminée] Sam 6 Nov - 13:39
Le premier code est bon, le deuxième est dans le contexte. o/ Courage, il n'est pas si dur à trouver ~
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Sujet: Re: « Ulrick Doloris. » [terminée] Sam 6 Nov - 13:42
Gné vi , je suis nulle je sais :bad: c'est bon normalement , c'est juste je suis longue a la détente :okay...:
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Sujet: Re: « Ulrick Doloris. » [terminée] Sam 6 Nov - 14:32